Les conséquences non intentionnelles des décisions pour contenir la pandémie de COVID-19 sont énormes et affectent le bien-être des citoyens européens en termes d'économie, de relations sociales et de santé : L'Europe connaît la plus grande récession depuis la Seconde Guerre mondiale, les contacts sociaux ont été interrompus et les gens évitent de se faire soigner par peur de l'infection.
L'objectif primordial du projet SHARE-COVID19 est de comprendre ces conséquences non intentionnelles et de concevoir des politiques sanitaires, économiques et sociales améliorées. Dans nos recommandations politiques, nous nous efforçons de rendre les systèmes de santé et les sociétés de l'Union européenne plus résistants aux pandémies en termes de prévention, de protection et de traitement de la population de plus de 50 ans, une partie très vulnérable de la population.
Le projet poursuit une approche transdisciplinaire et comparative internationale en exploitant les sources de données de l'infrastructure de recherche SHARE. Tous les États membres de l'UE y participent. La Société Max Planck est responsable de la coordination du projet.
Le projet a débuté le 1er novembre 2020 et il prendre fin en octobre 2023.